Façades toutes dressées, des arbres la reliure de verdure, leur froufrou remet l’air et le contour des visages.
Le soir musical un cuivre
un hautbois un arbre s’élancent
de partout monte la musique aux accents humains (les nôtres désaccordés)
la basse profonde binaire
soutient l’effort
la simplification un cœur
en bas
qui bat dégrade
le jour
nous, là-haut, ressassons la marée, sa lumière,
en vigies nous scrutons le large, écumons vos échos
en fières vigies du Mont Parnasse,
(le nouveau, nommé par ironie mais vous avons-nous assez pris au mot ?)
et vous, de même, suivant la leçon de Parnassos (aux dires de Pausanias), nous avez-vous assez observés ? »
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