Âtre du grec ostrakon
« coquille » puis « tesson de terre cuite ». Là
devant l’âtre rougi, les pieds nus à plat sur le champ de chevrons des
briques, suivant une très discutable étymologie je convoque le coquillage de
mes anadyomènes et boucliers, puis le rocher de mon oreille ainsi que sa cavité,
la loge du grand miroir du fond avec sa réflexion filaire, mais la
flamme irréfutable me ramène à la conque
brûlante à mes pieds et au contrecœur noir.
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