Car tout poème est une nature.
Il ne compense rien, n’étant pas secondaire
mais de son contrepoint (et contrepoids) d’objet réel il vit
et crée un précédant. C’est après lui
qu’on voit et qu’on peut distinguer le vrai.
Cela tient à la langue, écrite sur mesure
par nos beaux ascendants, et toujours d’après nature.
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