Ni jubilation ni affliction dans cette ligne
qui n'appartient pas au fond
l'horizon c'est
la colline qu'éclaire encore le soleil
il sombre vite sous le front des arbres
s'avancent mes mains gelées sur l'outil
- l'armure est un satin -
cette ligne vue depuis la place où je me tiens
engourdie et d'où partent les paroles
ondule sous nos mains aussi fines
et caressantes - sans possession -
que dépossédées
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