Ou bien ce sont des Hibernies
défeuillantes
dont je retrouve la nymphe lisse et poupine au printemps,
ou encore la Phalène
ondée, dite Incertaine.
Des Phalènes du
bouleau, c’est le morphe clair qui prédomine ici
elles qui, en vertu d’un nouvel allèle,
avaient su s’adapter à la couleur des zones minières
et des villes industrielles, sous la forme carbonaria.
Comme j’aime ces géométridés qui pourtant me disputent
pommiers et groseilliers. Cet art involontaire
de la survie.
Qu’on la croie morte elle resurgit transmuée.
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