Parce que tu brasses
l’air ? Parce que
nous embrassons la totalité, le pied s’affermit
dans l’élan, sous le ciel de lit la tant verte
renverse, l’effusion de verdeur en maintes
voussures où l’esprit chevronné, débonnaire,
a jeter son dévolu. Sur ?
A son dévolu, son
éternel retour au manquement, au trou d’air.
Bondis ! lui
enjoint l’oubli. À travers la profusion
d’espaces tombant vers lui, l’esprit lui échoit, à lui
aussi,
un intime point de chute, serait-ce sa
place ?
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