Rupture, syncope, il s’affole
et moi je cherche des yeux la symétrie bousculée,
j’augure en vols démembrés,
je vois le hangar qui n’est qu’une bouche
comme le puits de l’oracle où
se cherche la réconciliation des espaces
le discernement des tourments.
On entend le bruit du vent tout autour,
qui prête encore l’oreille ?
Le chat sur le toit appuyé au prunier
miracle d’équilibre
semble orchestrer le mouvement.
Les coupures de vent.
Brefs dégagements, bref
laps dans l’entrelacs des secondes et
des branches, artères vives
comme des arêtes tranchantes.
Elles ensanglantent la syntaxe, scène
d’un théâtre nouveau.
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