À l’aube terrifiée je sais
prostrée dans l’attente et le vide qui se fait
- j’éprouve enfin -
ce que haie n’est autre
(je sais ce que haie)
le lien puissant, intensif
de la mort et de la vie - l’une à l’autre ressortie -
ce lien à haut rendement
et ce courant qui la fait crépiter.
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