Quand je sors côté jardin, il est là, tragique et obstiné
dans le soleil
crépitant autour de son arbre
preuve à l’appui (par le vide,
véridique), témoin du brutal jardin,
mais plein de vie
sa vie qui n’est pas, tout comme la vérité,
le produit d’une bonne volonté préalable,
mais le résultat d’une violence,
vie qui naît d’une rage récurrente
et s’affirme avec l’insurrection.
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