Mais voilà comment entrent
par l’effraction de la lumière
- des lumières à l’esprit qui atteignent
jusqu’à l’irraisonnée pulsion de mouvement : comment alors
un œil a vrombi, comète, filant
vers de l’éteint*
tu dis : la charge de [vos] noms*
délestait la nuit -
comment entrent des bêtes hors d’âge
*Paul Celan, « Tant d’astres », in La rose de personne, in Choix de poèmes réunis par l’auteur, traduction et présentation de Jean-Pierre Lefebvre, édition bilingue, nrf Poésie/Gallimard, 1998, p. 173
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