Nous descendons le temps. Le granite orange
ponctue la pente. Fougères et laines dans les vergers.
On entend tout en bas le chant hâtif.
Au chemin rocailleux surplombant le ruisseau
incombe la jasione bleue.
Le fond du
vallon, où
vivaient les moniales, dans
la clôture parfaite
du granite et de
l’eau. Remous bouclé
du feuillage à
l’hautain chevêtre.
Le taon a rompu la
paix des muscles.
Je me demande alors où réside la tentation. Bon :
hautain chevêtre, bois noirci
à l’ombre du remous ; on ne voit rien que
l’efficience de l’ombre portant des feuilles en bouclier.
Où pouvait-il donc se trouver des portes ?
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