Cette poire, c'est son air d'attendre que je la désire,
son empreinte (mais qui, ferme, en réalité n'attend rien,
c'est sa réalité perrine que seulement je vois,
comme elle est retranchée de tous sauf d'elle-même - poire
et
poirier in petto -) qui fait la promesse de fruit
dans sa retraite. Je vais la suivre !
(Et là elle offre toutes ses faces à mon
étreinte.)
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