Ô le bel orient des perles de symphorine !
Scintillation des passementeries - pourquoi seraient-elles
trompeuses ? -, rutilantes arilles des fusains, ô
la nitescente
réflexion de ces bras ronds
dans la douceur du soir !
(dont les variations l’enchantent - on a
pas fini de l’entendre !
- Mais Célimène, rien ne finit.
Son sujet ne
t’essouffle t’il pas ? Le sujet respire,
tous les pourquois s’estompent au rythme de la danse
la forme seule l’emporte.)
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