L’esprit reclus - qui se pensait tout près de l’abandon -,
est soudain insolé.
Déclinaisons des mésanges, c’est une danse atomique incessante
dans la grille à contre jour, les ramifications, où leur
babil
fait bouger les termes et toute la trame matinale :
du jeu dans les données.
Gonds et pentures, tout chante. Mésanges.
Leur vol tisse des liens non visibles
pour nous, ignares malvoyants
dont la tête croise les traits, le complot s’ourdit en notre
absence
de toute façon. Ouvrant les volets débonnaire,
on est juste sensible à la liesse générale, comme une fête
sans objet (mais non sans motif).
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