le paysage étant
l’aménagement rationnel de ces fonctions
et la circulation facilitée de l’une à l’autre
(un petit étang artificiel y ferait figure de lieu,
centre rond/point de mire
pour la grâce et le repos,
spéculaire, notre vue s’en satisferait
conquise par l’au-delà,
l’eau bercerait l’idylle espérée, l’idée
d’éden suffirait comme toujours
avec quelques cirrus homogenitus
et cirrocumulus, à conforter l’amour
et à donner son sens au quai)
ce mariage est-il plus heureux de cumuler transport
et rituel brumeux, en bordure de voie ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire