On connaît la chanson, c’est
tout l’intérêt du rituel :
entrez dans la danse ou restez en marge à jamais !
Combien nous aimons notre paysage !
combien nous le trahissons ! Le vénérons
comme décor de nos ébats, nos débats, nos
épousailles, le décor glissant, la scène pourtant nous devance.
Vous observant je pense aux noces d’Antoine Watteau,
j’entends la musique sous les arbres, le bal
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire