Sous les iris les feuilles des Plateaux (Nuphar lutea ) offusquent la mémoire, leur opacité
peltée à la surface de l’eau flotte contre la profondeur
une obturation verte et dessus l’ove du bouton
lequel précisément me les faisait confondre avec les lotus.
Ma vue obtuse acquiesce à ces stases orbiculaires
où saillent les fleurs en coupes, l’ivresse
en laquelle attend un œil réfléchissant.
Le pied prudemment proche.
Je guette la bardane sur la berge opposée
- qui m’est familière -.
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