Et est-ce qu’on a seulement l’air de ce qu’on est ?
Le plus clair du temps, on contribue à se brouiller la vue
soi-même
avec le programme, lui-même régi par l’intentionnalité.
Peut-être est-ce notre façon à nous, humains,
de nous maintenir à flots, l’air de rien - le maître-mot -,
peut-être, oui, mais
que faire ?
Rien. Laisser le poignard du réel fouiller la plaie,
regarde-toi, en
quête de lui, curieuse de ce qui touche
et avive,
et tu l’invites à venir plus profond, regarde-le.
La catastrophe, c’est quand tu le perds de vue :
tu perds la face,
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