qui s’empare de nous : voyons comment démarrer. Démarrons !
Déroulons (on peut dire que c’est le paysage, précisément, ce qu’on en fait.)
Réverbération multiple d’un visage humain comme sur la vitre
d’un train.
Et cette question : qu’est-ce
qui reste là, un homme ou un poème ?*
Ah ! Ou bien un paysage.
*Cees Nooteboom, Le Visage de l’œil, Actes Sud, 2016, traduit du néerlandais par
Philippe Noble
poète et poème que j'ai découverts sur le blog Beauty will save the world
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