t’insole et te décalque. Le mur te fusillera, encore,
où grésillent les dernières secondes
de la journée.
Et « tu ne tueras
point », non ?
- Et bien, oui !
Le monde tue ainsi par à-coups, et
petits feux, le un + un (feux de toutes les beautés,
compromis, calamités, majestueuses désillusions).
C’est la vie ! Ça
n’est que tueries.
Mais la nuit le langage nous ressuscite.
Et sur le
grill, encore,
du jour. Le
langage du rêve ?
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