Un coup d’épée dans l’eau la danse assassine,
(quelque chose pourtant l’innocente puisque le mouvement
vient d’ailleurs, de derrière - loin derrière, au-delà du
visage,
des nuages ou des voiles ? S’empalent ? -
c’est probablement à la surface l’eau qui respire)
la risée - ça n’est pourtant pas si drôle -. L’eau s’agite entre
les glaives,
au fond remue l’amas de feuilles glauques
quinefontplusqu’une - c’est sans césure - un corps à
l’usure, que la mort
nourrit, bave une
écume brève et ça glousse, ça moutonne au coude
à coude avec la glèbe. Tu dis ? Pour entendre tonner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire