Pleurs dictés des longs automnes
et sanglots - et lots de consolation, et sang aussi -
et sol
molle terre à l’ombre morbide encore,
mais des sillons ciselés, ados ressuyant
(d’inénarrables profils sont posés là qui enroulent le sens)
réécrivent tout autrement la scène.
L’autre main de l’homme - l’une est astucieuse,
et l’autre seulement habile - tente la ligne,
et la page. Tous regardent ailleurs.
* en regardant La chute d'Icare, de Pieter Bruegel l'ancien, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles
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