Car sidérée par l’éclat précaire
- frappée par des violents soleils soudain propagés -
j’essaie de m’approcher
de considérer le changement
d’insérer prudemment
et gauchement - débonnaire, n’est-ce pas bêtement ? -
dans le phénomène, ce pré-espace vivant, ma respiration
et mon pas.
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