(Ou que carroies-tu
tes stolons longs qu’on prendrait pour _ lierre quadrillent
le territoire tu _
lies ce qu’atteins d’un trait _ d’union, pierre et ombre
jusqu’à la haie,
massif _ et les tombes de Java, Goya _ Georgia encore
fraîche _
tes courroies en connaissent un rayon dans l’art du pourchas
mais pas du lasso
ça non ! Et encore que tu caracoles, lierret
tu ne saisis rien, en ça je te ressemble _ je crois
radicants _ c’est ce qui énerve _ tu reprends ton souffle
à la verticale de ton trait _ rosette cette couronne que tu
poursuis haut _ tête à tête
donne l’ut à toute la flore
tandis que stolons roborent _
de solides épigés bâtissent le sol.
Où t’arrêtes-tu ?)
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