Les particules disséminées
danseuses en suspension
réalisent l’air que nous voyons.
(Jusqu’à toucher,
tâter le terrain,
le sonder de leur acuité traversante,
essaimante.) Et c’est
cet air : un modèle de sustentation
(et pour mon polygone, merci !)
qui allège la marche sinon les pensées.
J’aspire un grand coup le rai où trémulait l’aigrette
(ou bègue ou
préambule)
en lent entête
elle préambulait
avant de sombrer.
(C’est ce que je n’ai pas pu voir
cette force de sustentation
en raison inverse de la racine de l’air.)
(Densité qui fait danser la tête.)
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