Et ce simple
exercice d’odoration - sans mépréhension, sans -
(gardons-nous de sacraliser
évitons les prosternations) mais plus près, à genoux,
alors que le soleil est là aussi - son rai fusionne un instant - :
fermer l’œil,
odorer le rêve (de papillon).
(Dans ce cas au cercle au bord duquel je me tiens
il faudrait un centre - une origine si on considère le temps - :
prenons-le au pied du massif de sauge.
Pour aussitôt penser sa dissémination.
Papillonnons avec.)
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