engendre dorénavant des images qui façonnent le réel,
lui qui n’a plus besoin des péripéties du visible pour être,
peut-être,
car l’introspection l’a gagné à sa cause.
Observant l’absence (et le silence), il comble ma région mentale
de sa douceur.
Elle colore déjà les haies.
L’arborisation de mes pensées, c’est lui.
Il sourit à la rouille implacable.
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