Et ce n’est pas l’été indien, mais bien l’été
disent-ils tous, mais bien l’été !
Ne vous réjouissez pas de cet hors-jeu ! Pleurez ! Pleurez !
Sa beauté lamentable, pauvre gesse
- légèreté (volage ?) à peine aggravée de pourpre -
beauté liminaire de la conscience de soi
et de la fin interminable, bien qu’admise,
je l’admets pour foi.
Autant fleurir dis-elle !
Comme je me solidarise de sa version indifférente
qui ne se mesure à aucune logique.
Oui, retournons à la fleur !
(Soyons-en l’épigone, le zélé, le dilettante.)
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