Le chat revient.
Comme un membre fantôme térèbre le corps la nuit,
il hante et traverse le poème qui robore,
jusqu’à l’impudicité : libérant la forme il ramène la vie,
en totale impunité.
Le voir me dénude.
Je regarde le fil que lie le poème, du corps au mobile au corps au
mobile.
Ne regarde-t-il que moi ?
Que vois-je ?
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