et ce paysage est un concours de morts qui admet la vie
et qui l’étaye
la cépée écartelée du coudrier
la ramure passible d’un frêne pour l’ascension de lierre
qui perd gagne, et c’est l’éloge de la ruine
pour le socle solidaire, pour l’échelle infaillible :
rien n’achève jamais la chose achevée
(sauf peut-être mon œil épris de rationalité soudaine :
éclaircir pour relever ce muret)
la chose que je vois en championne toutes catégories de l’économie,
avec l’exaltation que cette art requiert
paysage vertical, monde profus, recomposé,
déjà ma phrase à vau-l’eau sur cet entrelacs éblouissant,
contre-jour
aveuglant de réalisme
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