ma propre chair l’éprouve. Ma chair
en réponse, œil pour œil, pour évaluer
cette profondeur aggravée
(malgré ma difficulté à accommoder)
surtout qu’un automne s’est plu a glorifier la mort.
Là, il fait la roue, cet œil vulnérable
tout autour et au cœur de cette parade printanière
où ne reprend que ce qui l’entend
où ce qui est mort est là, pour autre chose,
entrelacs mystérieux d’utilités et d’usages,
avec un vieux seau et un ballon pour couronner
rentre dans mon paysage dit la haie
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