jeudi 18 avril 2024

ma propre chair l’éprouve.

 

ma propre chair l’éprouve. Ma chair

en réponse, œil pour œil, pour évaluer

cette profondeur aggravée

(malgré ma difficulté à accommoder)

surtout qu’un automne s’est plu a glorifier la mort.

 

Là, il fait la roue, cet œil vulnérable

tout autour et au cœur de cette parade printanière

où ne reprend que ce qui l’entend

où ce qui est mort est là, pour autre chose,

entrelacs mystérieux d’utilités et d’usages,

 

avec un vieux seau et un ballon pour couronner

 

rentre dans mon paysage dit la haie

 

 

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