Moyennant cette distorsion
une autre dimension s’insinue
une possible
autre lecture
chorégraphique
mouvante, du champ
appréhendé comme
l’effort de végétation
intrinsèque
du vivant
et non seulement
comme
le fond (de mes pensées)
un fond
auquel nos vues
subjuguées
par l’horizontalité
(horizontales
basales rosettes ?)
forme et idée définies
prêtent un sens défini
là où il n’y en a aucun (sens)
(pas même de fin)
sauf plantain s’essayant
à la génération
est-ce bien assez clair ici aussi ?
est-ce ?
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