« gloire à vous,
qui éternellement recommencez,
(sans savoir à quoi vous en tenir)
juste nés au beau milieu
et morts avant d’avoir pu
(ne connaissant ni le début ni la fin)
vous ravaudez, ravalez, reprisez gloire à vous
qui dans le soleil
le sommeil matinal
la chaleur oblique
parcourez les parois, frottez les façades,
arrimés aux cimes et balançant dans les airs
il n’est pas dit que vous voyiez loin.
Pour vous ce laudaire parisien »
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