[il n’est pas de pierre
même lorsqu’il marque son empreinte éphémère,
elle
impavide dans la boue du sentier]
le temps qu’il se retrouve.
Il voit des visages dans les massifs
et les buissons fredonnent.
Abeilles charpentières parmi les épiaires
cétoines brutalement atterries dans les roses
qu’elles démembrent
aucune d’elles ne fait cas de sa présence à lui
car il n’est d’aucun monde finalement.
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