l’envol est bluffant
un clapot d’ailes gravissimes
à la hauteur de l’alerte
donnée il est vrai sonnée
depuis le feu lointain par un cor brillant
puis tranquillement le vol de peu de battements rapproche les toits, plané liant l’air entre les cheminées liant les rives entre elles, reliant les toits comme des pages de livres au teint bleui
un flap,
la battue lente et puissante, l’arc léger de vos ailes dans le courant continu comme reposant,
comme lissant le courant
soudain une pose, pattes en extension, tout en avant du corps
palmées d’un beau rouge vieilli (ou chair orange chez certains)
elles fleurissent le zinc
tout dit que fête bat son plein/faîte bat son plein de goélands venus par vagues sur les toits
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire