« mes rêves noyés plus qu’envolés
je les suis par le fond – ils sont désormais
tenus pour ce qu’ils sont paix à leur âme
sans adresse autre que la mienne –
vous nous tenez serrés entre vos œillades vous nous tenez serrés
vous nous tenez
vous
en vous évadant vous m’évidez
Très beau poème... vous nous tenez... par un fil
RépondreSupprimercomme cet autre, dû à Henri Michaux https://butinrenethibaud.blogspot.com/2017/10/lame.html
Merci beaucoup René ! Je suis allée voir votre Butin, et que ce texte de Michaux est merveilleux !Simple et juste (limpide ! on est comme portés, flottés), et implacablement cinglant ("la réalité rugueuse" comme un sol rendu)
RépondreSupprimer🩵
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