votre présence dansée raccorde mes pensées, votre fête détonne,
vos coups d’œil, l’attention extrême que vous portez à ce que je ne vois pas
ne peux ni n’entends
(d’autres goélands bien plus loin sur d’autres toits de zinc, les rives d’un fleuve, un jardin de plantes ou une roseraie ?)
quand vous vous ébrouez la lumière gicle autour de vous : gloire, vous rénovez ce mot
pour le couchant
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