Croît tout un champ de cirses mûrs
des astres épineux plus brûlants à l’ouest où des soifs
- à l’endroit potager de l’abondance -
éprouvent la faux et mes yeux
la brûlure
tant que s’élève depuis les mains - les reins l’usure - un
chant de lamentation
à Tammuz - rougi au fer -
quand bien même au solstice une danse
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