Je reviens au jardin où tout est autrement
ou bien c’est en moi-même.
Les fleurs, le fléchissements des têtes sur l’axe, la déhiscence,
sans question ce qui a toujours été est.
L’énigme des graines, et sa divulgation.
Car regarder c’est déjà être
je semble ce soir ce que je vois : une arborescence
innombrable sans pourquoi.
Ici intensément.
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