Je te mange, je t’assimile, j’assimile
la vision de tes pattes raidies, œil bref.
Je porte ton sceau en collier de terreur,
une apotropaïque clé m’ouvre
le cœur.
Pour mieux te parler je forme des vœux,
avec toi je remonte d’un jour lent l’hiver soudain.
Toi et la petite salamandre à l’instant trouvée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire