Je te voue les moments de mon imagination
te ressuscite au gré de
mes images,
ainsi j’apprends à faire avec ton signe.
La mèche que tu portes, chatte céphalophore,
dans ma hâte je la brandis haut devant
(bien trop pugnace)
comme une bannière flottante.
De ton sceau (tu viens aussi en porteuse d’eau abonder mon
moulin
tu viens avec l’eau pour le feu au lieu que tu animas
tout comme la salamandre),
je revendique ton être - fugitive, que faire d’autre ?
-
je cherche ton accomplissement dans un objet
qui innerve le langage et
me rend ta mort familière
"...comme la salamandre" ?
RépondreSupprimerVoir le texte "Je me demande" publié le 11 février 2023... j'avais trouvé une salamandre dans la maison !
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