Tu impressionnes mon paysage, tu me
sur impressionnes,
en noces étranges - étranglées -
(par exemple lorsque je vois la rangée
de bouleaux argentés, tu es là
ès branches et broutilles - allongements,
étirements effilés
lascifs dans la lumière de janvier
par exemple
lorsque j’embrasse l’ensemble),
à la sorgue il n’y a plus que toi
ta robe écaille de tortue foncée
et ta flamme rousse, sur le vitrage glacé
où s’aggrave la nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire