La Petite biche le sait bien, qui cherche l’eau dans la cuvette
et trouve la noyade, par excès
ou insuffisance, qu’importe,
elle succombe à son désir et à l’eau, à satiété,
saturée d’elle-même.
Sur quelle page s’écrivent ses convulsions ?
Sur quelle page limpide sa raison convulsive
- et l’usage qu’elle en fait, l’eau en toute lucidité
plutôt que l’aridité -
et voici ma main pour la sortir de là.
Mais pour moi c’est du tilleul pléthorique
que vient le risque.
Un seul chrysanthème fait alors mon point d’application,
(ah ! ma poussée d’Archimède).
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