Dans la lumière : le pas plus dur sur la pierre resserrée
les fissures comblées
l'ombre
sédimentaire
je restitue le présent
pesant l'ombre et le lierre
à égale distance de l'aile blanchie
raclant j'ai le cœur qui s'effrite
sur mes talons empierrés sont les oiseaux
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire