Tout le jour sont cultivés les détails enfouis ou levés de
terre
et à la nuit les mots se rassemblent dans le coin d’un poème
comme je l’ai vu faire aux feuilles : elles roulent sous
le vent
pour finalement colleter - et cacheter - la vulnérabilité des
amaryllis
ou la suprématie des violettes, bref revêtir l’impatience.
L’histoire ne finit pas.
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