car s’atrophie
irrésistiblement la pensée, comme tu dis,
dans l’interminable
hiver, soit par manque d’entraînement
à la surprise
et au dérangement, soit par hibernal engourdissement.
Pourtant le
même rose vineux, sur le bois de le viorne
d’hiver,
a bien failli nous faire chanceler cet après-midi.
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