dimanche 7 mars 2021

car s’atrophie irrésistiblement la pensée

car s’atrophie irrésistiblement la pensée, comme tu dis,
dans l’interminable hiver, soit par manque d’entraînement
à la surprise et au dérangement, soit par hibernal engourdissement.
Pourtant le même rose vineux, sur le bois de le viorne
d’hiver, a bien failli nous faire chanceler cet après-midi.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire