Ici les sillons suivent doucement le relief,
grassement déversent
sur l’absent (nez en l’air) leur prodigieux flanc.
Au soc et au versoir ciselée la prodigieuse fertilité
de cette (paisible) triade heureuse, terre, pluie, vent.
L’anticlinal graphique s’y lit comme
un lit de signes paisiblement couchés, loués
pour leur forme animale.
Et les syllabes entendues rivent l’œil errant,
la pluie fait le reste.
Beau texte !
RépondreSupprimerBonjour Jean-Jacques ! Merci pour la visite et merci !
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