Parmi les fleurs je suis.
Je progresse, je consigne (l'acceptant) l'implacabilité
printanière.
J'observe le procès du vivant, ses prolongements, et
de la réserve se déduit ma méthode. C'est
elle qui me préserve de l'inconséquence.
Si au moins j'avais l'implication du chien ou de l'escargot.
(l'ai-je, ou non ?) Avec un chant pour chacun
plutôt que le mécompte de ces pertes, ces répétitions
indéfinies, indéfiniment listées. Ça ne suffit pas.
Et puis comment comptabiliser la souffrance ?
La pauvreté des proverbes ne résout pas le procès.
Il y a toujours la digression (mieux vaut la digression,
l'adjectif capiteux incarne mieux la brièveté des visages,
l'interminable saccage des vies. Les plus prosaïques
variations
du paysage.) Tu ne veux pas courir le risque de l'indigence
?
Qu'est-ce qui suffirait ? Une pincée de sel ?
Un lavage de mains ou
une bonne sanction ?
Le chant (comment) purge les peines.
Depuis toujours il suffit.
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