Je pensais que cette forêt est à la fois comme les rives que
relie le pont et ce pont,
une phrase dans laquelle on s’engage nous transporte aussi
loin à travers elle,
nous mène au cœur du temps continu et muet,
pourtant lié au temps bref de nos vies éminemment
littérales.
Tous les langages s’y enchevêtrent et s’étayent jusqu’à
former
l’espace combre
suffisant pour interdire le passage,
l’autoriser ou le protéger.
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