Non pas terres vaines, non,
il suffit de passer sous ces arbres
de frôler les haies de ronciers
et d’églantiers, de prunelliers (on sait
ce que ça donne
en plein jour ou en pleine saison
ça n’est pas plus humain,
seulement plus familier).
Où, de nuit, un monde
confiant dans ses ténèbres
s’adonne à la perception.
Cette série est magnifique.
RépondreSupprimerMerci pour le partage des textes et des photos.
Raphaël
Merci Raphaël !
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